mardi 23 avril 2013

Bus tragedy highlights road risks


Le 17/04/2013.




Rio de Janeiro, Brazil –   Monday 2 April, a bus crashed off a flyover in Rio de Janeiro, Brazil,  injuring nine and killing at least seven people .The bus fell from the 10-metre-high bridge overhanging one of the main access roads in Rio de Janeiro and landed on its roof.
Firefighters from six divisions quickly arrived on the scene attempting to extract survivors from the crumpled wreckage of the bus. More than 50 firemen were mobilized said the Secretary of the Civil Protection, Sergio Simoes. The most seriously injured were airlifted to a nearby hospital.
The human toll is consequent, “until now, seven deaths were confirmed” said a fire brigade spokesman. It's only at the beginning of the night that number of injured was confirmed by a Civil Protection release. Numerous tracks of blood and scraps of glass sprung on the road next to the causalities bodies.
An investigation has been opened. The cause is not yet known, but witnesses claim the driver had a dispute. One of the main line of inquiries at present is focusing on reports that the bus, the 328 service, was speeding and that an argument was taking place on board between the driver, who survived the accident, and a young male passenger
Officials are waiting for other survivors to stabilize before they take witness statements, but two have already been questioned, according to Globo News, which reportedly said the young passenger was complaining that the bus had missed his stop due to the speed at which it was traveling.



 Opinion: Last September, the president Dilma Rousseff declared that the Brazilian government would try to reduce the alarming statistics to make Brazil “a civilized country ".
In Brazil, bus drivers have the reputation to drive fast and recklessly. In 2011, an average of 117 people died per day on the roads, in this country of 194 billion inhabitants. Brazil is the world champion of road deaths.
This accident reflects a sort of “undisciplined society.”  Regarding the assumption of a technical problem, it transmits once again an image of a country encouraging it trading mainly external to the detriment of public safety and internal development.




Le dernier arrêt du bus 238

Rio de Janeiro, Brésil- Mardi 2 avril 2013, un accident de bus a causé sept morts et neufs blessés.
En effet, dans la soirée de ce mardi, au moins sept personnes sont mortes, dans une chute de dix mètres d'un autobus depuis un pont qui surplombe l'une des principales voies d'accès à Rio de Janeiro depuis l’aéroport international.
De nombreuses ambulances, voitures de pompiers et hélicoptères ont été dépêchés sur les lieux de l'accident. « Près de 50 pompiers sont mobilisés », a indiqué le secrétaire de la protection civile, le colonel Sergio Simoes, à la TV Globo. Les plus gravement blessés ont été évacués par les airs vers l’hôpital le plus proche. La circulation a été partiellement bloquée, provoquant alors un immense embouteillage en raison de l’heure de pointe. Des centaines de curieux se sont également massés aux abords du lieu de l’accident. Ce ne sera que plus tard dans la soirée, une fois que le bus sera remis sur ses roues, que l’avenue sera dégagée.
Bilan humain  conséquent, «  les équipes de secours sont sur place. Jusqu’ à présent sept morts ont été confirmées », a d’abord déclaré un porte parole des pompiers. Ce n’est que plus tard dans la soirée qu'un communiqué de la protection civile a fait état de neufs blessés au total et de sept morts. De nombreuses traces de sang et de débris de verre étaient visibles sur la chaussée et certains corps qui n’avaient pas encore été évacués reposaient dans d’immenses sacs noirs à même la chaussée.
Une enquête a été ouverte sur les causes de l'accident. Selon des témoins entendus par TV Globo, le chauffeur du bus se disputait avec un passager. Celui-ci lui aurait reproché de rouler trop vite et d’avoir raté son arrêt.




Opinion : En septembre dernier, la présidente Dilma Rousseff a déclaré que son gouvernement essaierait de réduire ces statistiques alarmantes pour faire du Brésil «un pays civilisé». Les chauffeurs d'autobus au Brésil, pour la plupart  travaillant pour des compagnies privées, ont la réputation d'aller très vite et de commettre des imprudences.

En 2011, une moyenne de 117 personnes par jour sont mortes sur la route dans ce pays de 194 millions d'habitants, un des champions mondiaux pour la mortalité routière.
Cet accident reflète une société indisciplinée au volant.
L’hypothèse d un problème technique accentue l'image d'un pays favorisant son commerce extérieur au détriment de la sécurité de ses habitants ainsi que de son développement interne.


Source: http://riotimesonline.com/brazil-news/rio-politics/seven-die-in-rio-bus-overpass-fall/


Constance

dimanche 14 avril 2013

Google map



09/04/13

                       Rio: poverty wiped off the map
    Google finally removed the word “favelas” from Google Map after many requests from the Rio City Hall and some tourism organizations, which have been keeping on fighting for this cause since 2009. Indeed the Portuguese word happened to be very pejorative and insisted on a negative image of Brazil, especially this year as the country is supposed to host two important world events.

     Rio authorities have actually started major operations against drugs and violence problems in order to make the area safer. That is why they denounced the fact that Google showed only the bad part of the area and therefore damaged the vision of it for the rest of the world. Moreover, some people mentioned that the first areas appearing when one looked at the city on Google map were favelas instead of the beautiful monuments, which make the wealth of this city. The mayor of Rio and tourism companies emphasized the evidence that the image of Rio given by Google, by showing only those poor areas, was likely to arouse a feeling of insecurity on tourists and could work against the economy increase.

     However, even if Google accepted to remove the offensive word and apologized saying they were not trying to harm the city, this action can be dangerous for tourists who trust this map. They may think that the place is safe whereas it is not yet.

     Opinion: To my mind, as Brazil went through a lot of catastrophes during this year and recently faced big problems with the organization of the FIFA World Cup and the Olympic games, the authorities really need to show a good image of the country in order to reassure the potential audience of those events. Yet I think they should prevent tourists from entering this part of Rio instead of hiding the reality from the world. If Google should not focus on favelas, it is strange that the firm accepted to make the word disappear, as the so called favelas still exist. As a means of information, a map should remain a faithful reflect of reality. Is Google Map therefore still a reliable information source?


                      Rio : la pauvreté rayée de la carte

 Google a finalement accepté de retirer le mot « favelas » de Google Map après de nombreuses demandes de la mairie et de différentes organisations touristiques qui se battaient pour ce retrait depuis 2009. En effet ce mot d’origine portugaise est très péjoratif et donne une mauvaise image du Brésil, ce qui le dessert beaucoup en cette année où le pays doit accueillir deux évènements mondiaux très importants.

 Les autorités de Rio ont en effet amorcé des opérations de grande envergure pour réduire les problèmes de drogues et le taux de violence dans ces quartiers afin de les rendre plus sûrs. De plus, les usagers ont remarqué que les premiers quartiers qui apparaissaient lorsqu’on cherchait Rio sur Google Map étaient les favelas, au lieu des nombreux monuments qui font la richesse de cette ville. Ainsi, de nombreuses organisations ont dénoncé le fait que Google ne montrait que les mauvais côtés de Rio et par conséquent en donnait une vision négative au reste du monde.

     Le maire de la ville ainsi que des organisations de tourisme ont ainsi souligné que l’image de Rio affichée par Google suscitait un sentiment d’insécurité auprès des touristes et pouvait contrarier la croissance économique.

     Cependant, même si Google a accepté de retirer ce terme considéré comme péjoratif, s'est excusé et a expliqué ne pas avoir cherché à nuire à la ville, cette décision peut s’avérer dangereuse pour les touristes qui se fient à Google Map, car ils peuvent penser que l’endroit où ils se rendent ne présente aucun risque alors qu’il est plutôt hostile.

     Opinion : Sachant que le Brésil a traversé de nombreuses catastrophes, notamment dans l’organisation de la coupe du monde de football et des jeux olympiques 2016, les autorités ont plus que jamais besoin de promouvoir une image positive de la ville de Rio pour attirer le public potentiel de ces deux évènements. Cependant, je pense que Rio ferait mieux d’empêcher les touristes de pénétrer dans cette partie de la ville plutôt que de vouloir cacher cette réalité au monde entier. Même si Google Map ne devrait pas mettre en valeur le quartier des bidonvilles, il est étrange que la société ait accepté de faire « disparaître » cette appellation, puisque le quartier existe toujours. Une carte étant un moyen d’information, elle devrait rester conforme à la réalité et non se plier aux exigences économiques. Google Map est-il donc toujours une source d’information fiable ?

                                                                                                                              Juliette

 Source: http://www.telegraph.co.uk/technology/google/9982153/Google-removes-word-favela-from-Rio-maps.html

samedi 6 avril 2013

Fishing for trouble


Since Tuesday, tourists, visiting Rio de Janeiro, and surrounding inhabitants can see the Lagoa Rodrigo de Freitas in a very different light. Indeed, tons of dead fish, crabs and shrimps are floating on the lagoon. 180 employees are employed at “lagoon cleaning”. Since the beginning of their work, employees collected more than 165 tons of seafood with four boats. How can thousands of dead seafood die in such a short time?
  According to Carlos Alberto Muniz, the municipal secretary for environment, this macabre event is due to recent storms and heavy rainfall. These natural events brought organic matter into the Lagoon. Despite it opening to the ocean through a narrow canal along the Jardim de Ala, the water doesn’t flow quickly enough so organic matter stagnate in the Lagoon. The consequence of this microbe proliferation is the decreasing oxygen rate in the water. Indeed, as the quantity of microbes increases day by day, they are increasingly consuming oxygen  and consequently, the seafood present in the lagoon haven’t got enough oxygen to breathe.
  Seafood’s massive death may have consequences on the organisation of the Olympics games in 2016, since the rowing events should take place in the lagoon. In order to avoid a malaise, the city of Rio plans to improve water circulation in the lagoon.  

Opinion:
  The city of Rio was already a target for criticism from the rest of the world. The high rate of violence, drug traffic, a modernization detrimental to the poor, the living conditions in favelas are held against Rio state which is blamed for its inactivity according to some associations. Moreover, the international Olympic Committee has warned Rio that preparations must be accelerated if they want to be ready for the Olympic Games inauguration.
 18/03/2013
Léa

 

 
Pêche macabre à Rio

  Depuis mardi, les touristes en visite à Rio de Janeiro et les riverains, peuvent voir le lagon Rodrigo de Freitas sous un angle très différent. En effet, des tonnes de poissons, crabes et crevettes flottent à la surface du lagon.
 Actuellement, 180 employés travaillent à son «nettoyage». Depuis le début de leur travail, les employés ont collecté plus de 165 tonnes de fruits de mer et de poissons avec l’aide de quatre bateaux.
Comment des centaines de poissons ont-ils pu périr en si peu de temps ?
  D’après Carlos Alberto Muniz, le secrétaire municipal à l’environnement, cet évènement macabre est aux récentes chutes de pluies. Ces épisodes pluvieux ont déposé de la matière organique dans le lagon. Malgré une étroite ouverture sur l’océan, le long du Jardim de Ala, l’eau ne circule pas correctement, ainsi la matière organique stagne dans le lagon. Cette prolifération de microbes a entrainé une nette baisse du taux d’oxygène du lagon. En effet, au fur et à mesure que les microbes se multiplient, ils consomment de plus en plus d’oxygène et la faune du lagon finit par en manquer.
  Cette extinction massive peut avoir des conséquences sur l’organisation des Jeux Olympiques de 2016 puisque les épreuves d’aviron devraient se dérouler sur le lagon. Afin d’éviter un malaise, la ville de Rio a déjà prévu un projet d’amélioration de la circulation de l’eau dans le lagon.

Opinion :
  La ville de Rio était déjà la cible des critiques du reste du monde. Le taux de violence, le trafic de drogue, la modernisation au détriment des plus pauvres sont reprochés à Rio, y compris par le Comité International Olympique. Ce dernier a prévenu Rio que les préparations pour les Jeux Olympiques de 2016 doivent être accélérées pour que tout soit prêt lors de l’inauguration en 2016.
18/03/2013
Léa





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