mardi 11 mars 2014

March 10
Rousseff fights against racism with a Tweet
RIO DE JANEIRO, BRAZIL – On Sunday, March 9th, Brazilian President Dilma Rousseff condemned, via Twitter, recent acts of racism against a Brazilian soccer player and referee. The incidents happened in the south of Brazil and has raised alarms in the media and sports community.
“Brazilian football was marred by scenes of racism against the referee Márcio Chagas da Silva and Arouca,” Rousseff tweeted on Sunday. “It is unacceptable that Brazil, the largest black nation outside of Africa, should meet with these scenes of racism.” Indeed from the start of the preparations of the FIFA World Cup, two incidents of racism have been reported.
The first incident occurred in Mogi Mirim's stadium in São Paulo state when popular team Santos’ defensive midfielder Arouca met with cries of “monkey” from a small group of supporters. Next at a match pitting Esportivo againstVeranópolis, referee Márcio Chagas da Silva was also allegedly called “monkey” by fans while refereeing the match and bananas were reportedly left on top of his car and in his exhaust pipe.

With the FIFA World Cup scheduled to begin in Brazil in less than one hundred days on June 12th, international attention is focusing on the country’s preparations  in all areas for the games. Additionally Rousseff stated optimistically ; “Let’s tackle racism! I know with the UN and FIFA this World Cup will also be the Cup of Peace and Cup against racism.”

Opinion :

I find that the impression left by these racists is really degrading for the image of the country, as well as the image of all the sports communities - not only for the soccer's image. It is an enormous lack of respect for the people concerned but also for all the Brazilians. As Dilma Rousseff perfectly said on Twitter, the great majority of Brazilians are black and can thus feel concerned and hurt by this insult. The President was totally right to denounce it asblatant acts of racism. Furthermore, withthe preparations of the FIFA World Cup well under way, Brazil strives more than ever to display a brotherly and social image of soccer, which is completely ruined by the lack of respect of some supporters.

10 mars


Rousseff  lutte contre le racisme sur Twitter

RIO DE JANEIRO, BRAZIL – Le dimanche 9 mars dernier, la Présidente brésilienne Dilma Rousseff a dénoncé, via Twitter, des actes récents de racisme envers un joueur de football et un arbitrebrésiliens. Ces incidents se sont déroulésdans le sud du pays et ont déclenc unelevée de boucliers dans les médias ainsi que dans la communauté sportive.













"Le football brésilien a été témoin de scènes de racisme contre l'arbitre Márcio Chagas et le joueur Arouca," a tweeté Rousseff ce dimanche. "C'est inacceptable que le Brésil, la plus grande nation noire après l'Afrique, soit victime de ces scènes de racisme." En effet, depuis le début des préparations de la Coupe du Monde FIFA, deux incidents sont survenus.



Le premier s'est déroulé au Stade de Mogi Mirim dans l'état de São Paulo, quand le populaire 
défenseur Arouca, joueur dans l'équipe Santos a été hué avec des cris de "singe" par un petit groupe de supporters. Ensuite, lors d'un match opposant Esportivo et Veranópolis, l'arbitre Márcio Chagas da Silva aurait été également traité de "singe" par des fans pendant qu'il arbitrait le match. Des bananes ont étédélibérément laissées sur le toit de sa voiture ainsi que dans son pot d'échappement.




Avec la Coupe du Monde FIFA prévue au Brésil le 12 juin, dans moins de cent jours, l'attention 
internationale est focalisée sur les préparatifs du pays dans tous les domaines des jeux. Rousseff a déclaré avec optimisme ; "Débarrassons-nous du racisme ! Je sais avec l'ONU que la Coupe du Monde FIFA sera aussi la Coupe de la Paix et la Coupe contre le racisme.





























Opinion :
Je trouve que l'impression laissée par ces racistes est vraiment dégradante pour l'image du pays, ainsi que pour celle de l'ensemble de la communauté sportive (pas seulement celle du football). C'est un énorme manque de respect pour les personnes concernées, mais aussi pour l'ensemble des Brésiliens. Comme l'a parfaitement déclaré Dilma Rousseff sur Twitter, la grande majorité de la population brésilienne est noire et peut donc se sentir concernée et blessée par cet incident. La Présidente a eu totalement raison de le dénoncer en tant qu'acte de racisme à part entière. De plus, avec les préparatifs déjà bien avancés de la Coupe du Monde FIFA, le Brésil essaie plus que jamais de forger une image fraternelle et sociale du football, qui est gravement écornée par le manque de respect de quelques supporters.



















Note sur

jeudi 6 mars 2014

March 4

Strike during Rio’s Carnival

 

While Carnival celebrations continue throughout the city, trash generated by the multitude of party goers is piling up in areas of Rio due to a street sweeper strike. Problems began on the morning of Saturday, March 1st when sweet sweepers from the city’s Companhia Municipal de Limpeza Urbana (Municipal Urban Cleaning Company) better known as Comlurb, went on strike.

 

Their demands included better working conditions, salaries and overtime payments. By Sunday, the second day of Carnival celebrations in the city, many streets were filled with trash.
Additionally, approximately four hundred striking street sweepers clashed with military police during the afternoon hours of Sunday. The incident took place as the group, who were making their way down Avenida Presidente Vargas towards the Sambódromo, were met by military police near City Hall.


The Justiça do Trabalho (Labor Court) had previously on Saturday declared the demonstration illegal and the military police reportedly dispersed the protestors with tear gas.


Comlurb issued a statement on Sunday that read in part; “We maintain the special cleaning routine scheduled during the Carnival period.

 

Opinion : I think that they could wait four days before staging a strike because Carnival is a big party waited all the year. People parade on dirty streets so it also spoils the festival. Whereas Rio’s carnival should show splendid views of Rio, it is quite the oposite.

 


 

Salomé

 

Grèves durant le carnaval de Rio

 

Bien que le carnaval continuent dans toute la ville, les déchets générés par la multitude de participants s'entassent dans les quartiers de Rio en raison d'une grève des éboueurs. Les problèmes ont commencé dans la matinée du samedi premier mars lorsque des employés de la Companhia Municipal de Limpeza Urbana (entreprise municipale de nettoyage de la ville) mieux connue sous le nom de Comlurb, s'est mis en grève.

Leurs revendications portent sur de meilleures conditions de travail, de salaire et de paiement des heures supplémentaires. Le dimanche, la deuxième journée du carnaval, de nombreuses rues étaient remplies de détritus.

En outre, environ quatre cents grévistes ont affron la police militaire pendant les heures dans l'après-midi de dimanche. Le groupe avançait vers Avenida Presidente Vargas vers le Sambódromo. Ils se sont heurtés à la police militaire près de la mairie.

Le Justiça do Trabalho (tribunal du travail) avait déclaré samedi la manifestation illégale et la police militaire aurait dispersé les manifestants avec des gaz lacrymogènes .

Comlurb a publié un communiqué dimanche: “Nous maintenons le service de nettoyage spécial prévu au cours de la période du Carnaval .”

 

Opinion : Je pense que les grévistes auraient dû attendre avant de faire leur grève parce que le Carnaval est une grande fête attendue toute l’année. Les gens défilent dans des rues sales donc cela gâche le festival. Alors que le carnaval devrait montrer les magnifiques vues de Rio durant l’évènement, c’est l’inverse.

 


 

Salomé