lundi 17 octobre 2016

25 inmates die in riot

The prison is 2,100 miles north-west of Rio de Janeiro in Boa Vista. In a state that borders Venezuela and Guyana.

The inmates were armed with knives and wooden clubs.
Seven of the dead were beheaded and six burned to death. During the butchery there are not enough personnel there is no security equipment.

Some 100 visiting inmates' parents were held hostage. They all have been freed.

The inmates asked a judge to come hear their request but instead special operations police stormed the prison.

Fights and riots are frequent throughout Brazil’s overcrowded prison system. Brazil has the world’s fourth largest prison population. As of the end of 2014 there were 622,000 people imprisoned in Brazil.



25 morts dans un règlement de compte entre prisonniers

La prison située à Boa Vista à 3,400km au nord-ouest de Rio de Janeiro à la frontière du Venezuela et de la Guyane.

Les prisonniers étaient armés de couteaux et de bâtons. Sept détenus ont été décapités et six brulés vifs. Le massacre a mis en lumière le nombre insuffisant de gardiens et l’absence d'équipements de sécurité.

Une centaine de visiteurs, principalement des parents de détenus, ont été pris en otage. Tous ont tous été libérés sains et saufs.

Les mutins ont demandé un demandé la présence d'une juge du tribunal pénal. Une équipe des forces spéciales de la police a pu mater la mutinerie.

Les bagarres et les règlements de compte sont fréquents dans le système pénitentiaire brésilien. Le Brésil a la quatrième population carcérale du monde. A la fin 2014, plus de 622,000 personnes étaient incarcérées.

Clémentin



vendredi 7 octobre 2016

Police arrest journalists reporting on Rio evictions



Saturday night Rene Silva and Renato Moura were arrested as they attempted to report on the forced relocations of residents in favelas.

The police had asked not to report on the scene them but they didn't take the warning seriously. The journalists broadcast the arrest live. Other videos show the police harassing the journalists.
It was not the first time journalists were prevented from doing their job.

Rene Silva advocates peaceful police operations. After a number of protests, the police said the medias are guaranteed safety and can report freely.

Brazil is one of the most dangerous countries in the world for journalists. According to the « Brazilian Association of Investigative Journalism » more than three hundred attacks against the press were recorded in 2013.


Axel


Expulsés des expulsions

Samedi soir, deux reporters, Rene Silva et Renato Moura ont été arrêtés pour avoir tenté de faire un reportage sur les expulsions forcées d'habitants des favelas de Rio.

La police les avait avertis de ne pas filmer mais ils n’en ont pas tenu compte et ont filmé leur arrestation en direct afin que le public se rende compte du harcèlement des policiers.

C'est un incident qui devient de plus en plus commun.
Rene Silva milite contre les violences policières et de nombreuses organisations exigent que les journalistes puissent exercer librement leur métier. Suite à ces protestations, la police a annoncé que la liberté des médias d’aborder tous les sujets en toute sûreté était garantie.

Le Brésil n'est pas le pays le plus sûr pour parler des problèmes sociaux importants et selon l’Association brésilienne du Journalisme d’Investigation, plus de 300 agressions contre des journalistes ont étés perpétrées depuis 2013.

Axel



Source : The Guardian