mercredi 14 octobre 2020

Amazon rainforest suffers worst fires in a decade - La forêt amazonienne connaît ses pires incendies de la décennie

 

Amazon rainforest suffers worst fires in a decade

 

 

Fires in Brazil’s Amazon increased 13% in the first nine months of the year compared with a year ago, as the rainforest region experiences its worst rash of blazes in a decade. Since the start of 2020, more than 5,000 forest fires have been declared in brazil.

 

Data from space research agency Inpe, show that satellites in September recorded 32,017 hotspots in the world’s largest rainforest, a 61% rise from the same month in 2019.

Last year during August, the surging fires of Amazon captured the attention of a lot of people, including world leaders such as France’s Emmanuel Macron, saying Brazil was not doing enough to protect the rainforest.

 

On September 24, the US Democratic presidential candidate, Joe Biden, called for a world effort to offer $20bn to end Amazon deforestation and threatened Brazil with unspecified “economic consequences” if it did not “stop tearing down the forest”.

Brazil’s Jair Bolsonaro lambasted Biden’s comment as a “cowardly threat” to Brazil’s sovereignty and a “clear sign of contempt”.

 

“It’s already worse than last year, we are at the mercy of the rain” said Ane Alencar, science director for Brazil’s Amazon Environmental Research Institute (Ipam).

According to a fire monitoring tool funded in part by the US space agency, Nasa, the entire Amazon, which spans over nine countries, currently numbers 28,892 active fires.

 

The warming of the North Atlantic is also helping drive drought in the Brazilian Pantanal, the world’s largest wetland, which has suffered more fires this year than ever previously recorded, according to Inpe data.

A Federal University of Rio de Janeiro analysis found that 23% of the wetlands, has burned.

 

 

La forêt amazonienne connaît ses pires incendies de la décennie

 

Les feux ont augmenté de 13% au Brésil durant les premiers 9 mois de l’année par rapport à l’année dernière, et l’Amazonie subit ses pires incendies de toute la décennie. Depuis le début de 2020, plus de 5OOO feux qui ont étés répertoriés au Brésil.

 

Des informations venant de l’agence de recherche spatiale Inpe, montre que des satellites ont enregistré 32.017 foyers dans la grande forêt tropicale, une augmentation de 61% sur un an.

En août dernier, les incendies ont alerté l'opinion mondiale et des dirigeants internationnaux tels que Emmanuel Macron, ont reproché au Brézil de ne pas faire assez pour protéger la forêt tropicale.

 

Le 24 septembre, le candidat démocrate à la présidentielle américaine Joe Biden, a demandé un effort international pour collecter la somme de 20 milliards de dollars pour mettre fin à la déforestation de l’Amazonie. Il a menacé le Brésil de « conséquences économiques » non spécifiées, s'il n’arrêtait pas de « détruire la forêt ».

Le président du Brésil, Jair Bolsonaro a répondu violemment aux propos de Biden, en les qualifiants de « menace lâche » envers la souveraineté du Brésil et d'un « clair signe de mépris ».

 

« C’est déjà pire que que l’année dernière, nous sommes à la merci de la pluie » a dit Ane Alencar, directrice des sciences de L'institut brésilien de Recherche Environnementale de l’Amazonie.

Selon un outil de surveillance des incendies financé en partie par l'agence spatiale américaine, la Nasa, l’Amazonie, qui s’étend sur neuf pays, compterait actuellement 28.892 foyers actifs.

 

Le réchauffement de l’Atlantique nord contribue également à la sécheresse du Pantanal brésilien, la plus grande zone humide du monde, qui a connu davantage de feux cette année, selon les informations de l’Inpe. Une Analyse de l’Université Fédérale de Rio de Janeiro, a révélé que 23% des zones humides avaient brûlé.

 


Thomas B.

jeudi 8 octobre 2020

Abortion regulation will violate secrecy

 

Abortion regulation will violate secrecy

The Ministry of Health is about to enforce new regulation that restricts abortion even more. Indeed, now when a woman wishes to have an abortion, after a rape, the doctor must contact the police without the woman’s consent while medical secrecy isnt respected. The Ministry of Family, Women and Mens Rights has set up a telephone line for medical centres that suspect women of having had illegal abortions.

 Tamara Taraciuk Broner -acting deputy Americas director at Human Rights Watch- said “Brazilian authorities should urgently revoke these new regulations, which increase the risk that women and girls will resort to unsafe abortions that could endanger their lives and health. Because, indeed, women who have abortions dont do so out of will, they just dont have the choice, so they will surely resort to other dangerous solutions.

Les avortements désormais contrôlés par la police

Le Ministère de la Santé souhaite introduire de nouvelles dispositions qui restreindront davantage encore la possibilité d’avortement. Désormais, quand une femme voudra avorter après un viol, le médecin devra en informer la police sans le consentement de la victime, le secret médical ne sera plus respecté. Le Ministère de la Famille, des Droits des Femmes et des Hommes a mis en place une ligne téléphonique pour les centres médicaux qui soupçonnent les femmes d’avoir subi des avortements illégaux.

Tamara Taraciuk Broner, directrice adjointe par intérim de Human Rights Watch pour les Amériques, a déclaré : « Les autorités brésiliennes devraient d’urgence abroger ces nouvelles réglementations, qui augmentent le risque que les femmes et les filles recourent à des avortements dangereux qui pourraient mettre leur vie et leur santé en danger. » Parce que, en effet, les femmes qui ont des avortements ne le font pas délibérément, elles n’ont tout simplement pas le choix, donc elles auront sûrement recours à d’autres solutions dangereuses.

 

Juliette

 

Source : https://www.hrw.org/news/2020/09/21/brazil-revoke-regulation-curtailing-abortion-access