mercredi 13 février 2019

A very Brazilian disaster

The dam of the mining giant Vale collapsed on Friday, January 25 in the early afternoon in Brumadinho, a town of 39,000 inhabitants located 60 km southwest of Belo Horizonte.


The disaster is due to a dike that broke out at the iron ore mining site and which, releasing a torrent of toxic mud and took away buildings and installation of the mining company as well as large parts of the village of Brumadinho.


This toxic liquid spilled into a river, which deprived an indigenous village of water.


The latest deathtoll mentions 115 dead and around 250 missing. Moreover, 250 hectars of Amazonian forests were devastated.


“It’s a tragedy foretold, the fourth or fifth disaster of this type since 1986 in the state of Minas Gerais” an academic said. Many Brazilians denounce that after the rupture of Banarco Dana of November 2015, no dam has been reinforced, so that this collapse was predictable.


However, this disaster has human, environmental, and economic impact. In fact the minority of young city-dweller work in the mining sactor.


Elisa


Un nouveau désastre typiquement brésilien

Le barrage du géant minier Vale s’est effondré le vendredi 25 janvier en début d'après-midi à Brumadinho (commune de 39.000 habitants située à 60 km au sud-ouest de Belo Horizonte).


La catastrophe est due à la rupture d’une digue sur un site d'extraction de minerai de fer et qui, libérant un torrent de boue toxique, a emporté des bâtiments et des installations de la société minière ainsi que des habitations de Brumadinho. Ce liquide toxique s'est par la suite déversé dans une rivière, ce qui a privé d’eau un village indigène.


Selon le dernier bilan, on compte au moins 115 morts et environ 250 disparus. De plus, 250 hectares de forêtamazonienne ont été dévastés.


“C’est une tragédie annoncée, la quatrième ou cinquième catastrophe de ce type depuis 1986 dans cet état du Minas Gerais” a déclaré un universitaire. Les Brésiliens dénoncent le fait qu’après la rupture du barrage de Mariana de novembre 2015 aucun barrage n’a été renforcé, donc que ce nouvel effondrement était prévisible.


Dans la région, cette catastrophe a eu un impact humain et environnemental mais aussi économique car le secteur minier y fait vivre toute la population .

Elisa






dimanche 10 février 2019

President Bolsorano’s Election could endanger the rainforest

Just after his election, Brazil’s new president decided to merge the ministries of Agriculture and Environment.


Some people think that this decision is a way to weaken the Environmental agency. In fact, if there is no more Minister to protest against some laws that ease intensive agriculture for example, it will encourage rainforest destruction.


A former environment minister wrote on Twitter that this decision was “tragic”.


In fact, to obtain the support of the agribusiness lobby during the 2018 election campaign, President Bolsorano pledged to limit fines for damaging forestry. It seems that Environment protection is not his main priority.


It’s a big issue, because, in the meantime, Amazon deforestation has just hit its highest rate in a decade. Nearly 8000 sq km of rainforest were destroyed between august 2017 and July 2018. This figure is huge and bodes ill of the future, however, it’s much worse than in 2004 when three times more forest had been destroyed. It’s that year that the government decided to launch measures to combat deforestation.


L’élection du président de Bolsorano pourrait mettre en danger la forêt vierge



Juste après son élection, le président du Brésil a décidé de fusionner les ministres de l'Agriculture et de l'Environnement. Certains pensent que cette décision est un moyen d'affaiblir l'agence environnementale. En effet, s'il n'y a plus de ministre pour protester contre certaines lois qui facilitent l'agriculture intensive, par exemple, cela encouragera la destruction de la forêt amazonienne.


Un ancien ministre de l'environnement a écrit sur Twitter que cette décision était «tragique».


Effectivement, pour obtenir le soutien du lobby de l'agrobusiness lors de la campagne électorale de 2018, le président Bolsorano s'est engagé à limiter les amendes pour les dommages causés à la forêt. Il semble que la protection de l'environnement ne soit pas sa principale priorité.


C’est un gros problème car, dans l’intervalle, le déboisement de l’Amazonie a atteint son plus haut niveau en 10 ans. Près de 8 000 km2 de forêt ont été détruits entre août 2017 et juillet 2018. Ce chiffre est très élevé et préoccupant, mais il est bien meilleur qu’en 2004, où trois fois plus de forêts avaient été détruites. C’est cette année que le gouvernement avait décidé de prendre des mesures pour lutter contre la déforestation.


Camille

Spiritual healer John of God accused of sexual abuse

Known as "John of God," João Teixeira de Faria, has been accused by a dozen women of sexually assaulting them in his clinic in the central city of Abadiana.


Some of these women said he raped them while pretending that it was part of the healings and that after the abuse was done, he sought treatment for depression.


The allegations of sexual abuse have been raging for years, but so far have hardly deterred thousands of visitors from visiting his office.


It's been more than 10 years since journalists tried to preach the truth. In 2005, in an article titled "Primetime Live" by ABC News entitled "Is John of God a healer or a quack? », João was questioned about accusations that he took advantage of a woman for healing. He said, "There is a lot of jealousy, people are talking."


In 2014, a Sydney Morning Herald reporter went to Casa de Dom Inacío, the name of his spiritual office, for the interview. A question was about the early sexual allegations and João was angry and running and streaming "I thought you were talking about me, not other people".


He didn’t have a clean criminal record, he had already been fined and jailed for working without a license.




Jean de Dieu, guérisseur spirituel, accusé d'abus sexuel



Connu sous le nom de « Jean de Dieu », João Teixeira de Faria, est accusé par une dizaine de femmes de les avoir agressées sexuellement dans sa clinique dans la ville d’Abadiana dans le centre du pays.


Certaines de ces femmes ont dit qu’il les avait violées tout en faisant croire que cela faisait partie des guérisons et qu’après, il cherchait un traitement contre la dépression.


Les allégations d’abus sexuels font rage depuis des années, mais jusqu’à présent n’ont guèredissuadé les milliers de visiteurs de se rendre à son cabinet.


Cela fait plus de 10 ans que les journalistes essayent de révéler la vérité.


En 2005, dans un article intitulé « Primtime Live » d’ABC News intitulé « Jean de Dieu est-il un guérisseur ou un charlatan ? » João a été interrogé sur les accusations selon lesquelles il auraitabusé d’une patiente. Il aurait répondu « il y a beaucoup de jalousie, les gens parlent».


En 2014, un journaliste du Sydney Morning Herald s’est rendu à la Casa de Dom Inacío, le nom de son cabinet spirituel, pour l’interview. Une question portait sur les allégations d’abus sexuels et Joãose serait énervé « je pensais que vous veniez parler de moi, pas d’autres personnes ».


Il n’avait pas un casier judiciaire vierge, il avait déjà été condamné à une amende et une peine de prison pour avoir travaillé sans permis.

Camille

New attacks in Ceara State

A strong wave of attacks has hit one of Brazil’s 26 states since the beginning of January.


The state of Ceara, located in the Nordeste region, on the Atlantic coast currently faces a hugeamount of attacks led by organized crime. Nearly 300 attacks hit police stations, banking establishments, substations, schools… Some buses and cars have also been set on fire and some bombs have been placed in utility facilities.


The local population tries to limit the damage, for example by fighting the fires. The local politicianshave expressed their concern and blame the “cowards” who lead these operations. They underline the courage of the inhabitants and publicly thank them for their help.

The Armed Forces are now deployed in the state’s biggest cities. However, the incidents still continue. The state’s governor asked the Brazilian government to send federal troops to try to secure the most violent areas.



For the moment, more than 400 people have been arrested. But it seems that it’s not enough to stop this wave of violence.

The authorities think that these attacks are organized from within the penitentiaries. In fact, a new Secretary of Prisons has recently been appointed and he claims he wants to establish tighter rules in prisons.



Nouvelle vague criminelle dans l’état de Ceara


Une vague d'attaques frappe l'un des 26 états du Brésil depuis début janvier.

L’État de Ceara, situé dans la région du Nordeste, sur la côte atlantique, fait actuellement face à un nombre considérable d’agressions armées conduites par le crime organisé.


Près de 300 attaques ont touché des postes de police, des établissements, des centrales électriques et des écoles. Des autobus et des voitures ont également été incendiés. Des bombes ont été placées dans des équipements publics.

La population locale tente de limiter les dégâts, par exemple en luttant contre les incendies.


Les politiciens locaux sont très préoccupés par cette situation et traitent de «lâches» les instigateurs. Ils soulignent le courage des habitants et les remercient publiquement pour leur aide.

Les forces armées sont désormais déployées dans les plus grandes villes de l’état. Cependant, les incidents continuent. Le gouverneur de l’état a demandé au gouvernement central d’envoyer des troupes fédérales pour tenter de sécuriser les zones les plus violentes.


Pour le moment, plus de 400 personnes ont été arrêtées. Mais il semble que cela ne suffise pas pour arrêter cette vague de violence.


Les autorités pensent que ces attaques sont organisées depuis les pénitenciers.


Le Secrétaire de l’administration pénitentiaire récemment nommé souhaite instaurer des règles plus strictes dans les prisons.






Camille

samedi 9 février 2019

Brazil dam collapse : Search for hundreds buried under mud slide


On January 25, the Brumadinho dam collapsed. It is not clear what caused the collapse of the dam, owned by Brazil's largest mining company, Vale.
The break caused a sea of muddy sludge that buried the dam's cafeteria where workers were having lunch. But Vale president Fabio Schvartsman said the accident may have occurred too quickly for a siren which triggers security protocols to be activated.
Local firefighters said the number of missing in the area could be as many as 300.
State governor Romeu Zema said there was little chance of finding people alive. So far, nine people have been confirmed dead.

Résultat de recherche d'images pour "effondrement du barrage de brumadinho"

Des centaines de personnes enterrées sous la boue après l’effondrement d’un barrage

Le 25 janvier, le barrage de Brumadinho s'est effondré. La cause de l'effondrement du barrage appartenant à la plus grande société minière du Brésil, Vale, n'est pas claire. 
La rupture a provoqué une mer de boue qui a enseveli la cafétéria où les travailleurs déjeunaient vendredi. 
Le président de Vale, Fabio Schvartsman, a déclaré que l'accident s'était peut-être produit trop rapidement pour qu'une sirène déclenche l'activation des protocoles de sécurité. 
Les pompiers locaux ont déclaré que le nombre de personnes disparues dans la région pourrait atteindre 300. 
Le gouverneur de l'Etat, Romeu Zema, a déclaré qu'il y avait peu de chance de retrouver des personnes en vie. 
Jusqu'à présent, neuf personnes ont été confirmées mortes.

Alice