Demonstrations against the World
Cup
Less than one month before the
competition, the country is coping with protests.
Demonstrations took place in 12 cities, four of which will host the World
Cup (Rio de Janeiro, Sao Paulo, Belo Horizonte and Recife). The
government had to deal with them but also with the
different strikes, a spate of murders and
preparations for the players' arrival.
Nevertheless, the protest of one
thousand people in Rio was less important than last year, even if that one
came with a tense atmosphere, rare in Brazil, certainly caused by the first
World cup to be held in the country since
1950.
Brazilians protesting in streets
called a strike, and carried banners declarers, " Na Copa vai ter luta " (The
Cup will have fights). They protest against the costs of restoration of the
stadium of Maracana which could have paid for the
construction of 200 schools. In Belo Horizonte, around 2000 people invaded the
streets showing the images of the workers who died in the collapse of the
Itaquera stadium. This accident
was partly due to the pressure
exercised by FIFA for the stadium to be completed in
time. The most "disturbing" strikes were that of the police,
teachers, bus drivers and
museums.
At the moment Brazil is in the center
of media attention and certain inhabitants are worrying about the image of their country. «the entire world is looking at
us and we are showing it that the World Cup does not represent us ", said Felipe
Mesquita, a history
student.
Opinion : I think that the Brazilian government tries too much
to prove that Brazil has become self-reliant and is able to host the World cup.
It doesn't take into account the needs of its country any more. Brazilians have
to protest to be heard. I believe
that the carnival combined with the World cup
is a lot to take in for a
country half of whose inhabitants do not
enjoy decent living conditions.
And it will be the same thing for the 2016 Rio
Olympics.
Protestations anti Coupe du
Monde
Moins d'un mois avant le début de la compétition, le
pays fait face à des manifestations anti Coupe du
Monde.
Ces protestations ont eu lieu dans 12 villes différentes
dont 4 accueilleront la Coupe du
Monde (Rio de Janeiro, Sao Paulo, Belo Horizonte et Recife). Le gouvernement a
dû y faire face ainsi qu’à différentes grèves,
la hausse de la criminalité et les préparatifs pour l'arrivée des
joueurs.
Néanmoins, la manifestation de mille personnes à Rio était moins importante
que celle de l'année dernière même si celle ci s’est déroulée dans une
ambiance assez tendue, rare au Brésil, sûrement provoquée par la première venue
de la Coupe du Monde depuis 1950.
Les protestataires appelaient à la
grève et portaient des bannières "Na Copa vai ter luta" (La Coupe aura des
combats). Ils protestent contre le coût de remise en état du
stade de Maracana qui aurait pu permettre la
construction d'environ 200 écoles. A Belo Horizonte, environ 2000 personnes ont
envahi les rues en portant les photos des ouvriers décédés dans
l'effondrement du stade d'Itaquera. Cet accident c'était produit en partie à
cause de la pression exercée par la FIFA pour que le stade soit terminé à temps.
Les grèves les plus gênantes ont été celle de la
police, des enseignants, des chauffeurs de bus, mais
aussi de certains musées.
En ce moment le Brésil est au centre de l'attention
médiatique et certains habitants se préoccupent de l'image de leur pays. "Le monde entier
nous regarde et nous lui montrons que la Coupe du Monde ne nous représente pas",
affirme Felipe Mesquita, un
étudiant en histoire.
Opinion : Je pense que le
gouvernement brésilien essaye trop de prouver aux autres pays que le Brésil est
devenu indépendant, responsable et capable d'accueillir la Coupe du Monde. Il ne
prend plus en compte les besoins de son pays et les Brésiliens sont donc obligés de
protester pour qu'on les entende. Je crois que le Carnaval plus la Coupe du
Monde, cela fait encore beaucoup pour un pays dont la moitié des habitants ne
vivent pas encore correctement. Et ce sera encore la même chose pour les JO de
2016 à Rio.
Salomé