“I am not a weak woman”
President Dilma Rousseff said in an interview that any attempt to remove her would be illegal and harmful to the country. She also said that those attempts would leave scars on Brazilian democracy. At the end of the interview, she stated “peace would reign” in Brazil by the start of this year’s Olympic Games due to take place in Rio de Janeiro in August.
The impeachment congress accused Dilma Rousseff of using illegal maneuvers to balance the government’s book but she insists that this accusation is extremely weak.
She also noted that every president since the time of Getúlio Vargas* have had impeachment process against them. She explained that she came from “a generation in which if you opened your mouth you could go to jail”.
“We have never seen such intolerance in Brazil,” she said. “We are not an intolerant people.”
* dictator from 1930 to 1945 then president of Brazil from 1951 to 1954
« Je ne suis pas une femme faible »
Dans une interview, la présidente Dilma Rousseff a répondu que toute tentative pour la chasser du pouvoir serait illégale et nuisible pour le pays.
Elle a ajouté que ces agissements pouvaient laisser à la démocratie du pays des cicatrices profondes. A la fin de l’interview, elle a affirmé que « la paix régnera » au Brésil pour le début des Jeux Olympiques, prévus à Rio de Janeiro en août.
Les tenants de la destitution de Dilma Rousseff l’accusent d’avoir falsifié les comptes de l’Etat, mais elle prétend, quant à elle, que ces accusations sont sans fondement.
Elle a aussi déclaré que chaque président depuis l’époque de Getúlio Vargas* a eu à faire face à des procédures de destitution. Elle a expliqué qu’elle venait «d’une génération où si on parlait, on pouvait aller en prison ».
« Nous n’avons jamais vu tant d’intolérance au Brésil », a-t-elle ajouté, « Nous ne sommes pas des gens intolérants ».
Les tenants de la destitution de Dilma Rousseff l’accusent d’avoir falsifié les comptes de l’Etat, mais elle prétend, quant à elle, que ces accusations sont sans fondement.
Elle a aussi déclaré que chaque président depuis l’époque de Getúlio Vargas* a eu à faire face à des procédures de destitution. Elle a expliqué qu’elle venait «d’une génération où si on parlait, on pouvait aller en prison ».
« Nous n’avons jamais vu tant d’intolérance au Brésil », a-t-elle ajouté, « Nous ne sommes pas des gens intolérants ».
* dictateur de 1930 à 1945 puis président du Brésil de 1951 à 1954
Marine