Rousseff under street pressure
Scandals and recession have prompted Brazilians to stage the most important demonstrations ever to oust President Dilma Rousseff. Three million people took to the streets, many of them outside the Congress.
The war against the corruption has mobilized many in the capital.
According to Paulo Calmon, a political science professor at the University of Brasilia, the protestation on Sunday can encourage more legislators to forsake the coalition and vote to impeach Dilma Rousseff.
Paulo Calmon said: «We’re walking in the middle of a perfect storm, with a high level of uncertainty," "The feeling is that we're going to have some kind of decision in the coming months or even weeks, which could be removing Rousseff from office or some other political arrangement. That's what makes 2016 different from 2015."
This Friday, Dilma Rousseff declared that she had not given up and published a statement in which she claimed: “the peaceful nature of protests shows the maturity of a country that knows how to live with diverging opinions.”
This declaration substitutes her absence of public action on Sunday.
The dissatisfaction against the president began last year when they began with the sizable costs of the Soccer World Cup.
La présidente sous pression
Les différents scandales et la récession ont poussé les Brésiliens à organier de nombreuses les plus importantes manifestations que le pays ait connues afin d’exiger la démission de l’actuelle présidente, Dilma Rousseff. Trois millions de personnes sont descendues dans la rue et ont défilé devant le parlement.
La guerre contre la corruption a mobilisé dans la capitale. De nombreux politiciens sont déjà derrière les barreaux.
Selon Paulo Calmon, professeur de science politique à l’université de Brasilia, les manifestations de dimanche peuvent ébranler la coalition au pouvoir et influer sur le vote de destitution de Dilma Roussef: « Nous sommes au milieu d’une tempête, avec un haut niveau d’incertitude, le sentiment est que nous allons dans les prochains mois ou les prochaines semaines prendre le chemin d’une destitution de Roussef.»
Ce vendredi, Dilma Rousseff a déclaré qu’elle n’avait pas renoncé et a publié une déclaration où elle affirmait : « la nature pacifique des protestations montre la maturité d’un pays qui sait comment vivre avec des opinons contrastées.»
Cette déclaration a pallié son absence lors de la manifestation de dimanche. C’est ce qui fait que l’année 2016 est différente de l’année 2015.
Le mécontentement contre la présidente a commencé il y a un an lors des grands travaux d’aménagement de la coupe du monde de football qui avaient coûté beaucoup d’argent.
Ambre
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