Known as "John of God," João Teixeira de Faria, has been accused by a dozen women of sexually assaulting them in his clinic in the central city of Abadiana.
Some of these women said he raped them while pretending that it was part of the healings and that after the abuse was done, he sought treatment for depression.
The allegations of sexual abuse have been raging for years, but so far have hardly deterred thousands of visitors from visiting his office.
It's been more than 10 years since journalists tried to preach the truth. In 2005, in an article titled "Primetime Live" by ABC News entitled "Is John of God a healer or a quack? », João was questioned about accusations that he took advantage of a woman for healing. He said, "There is a lot of jealousy, people are talking."
In 2014, a Sydney Morning Herald reporter went to Casa de Dom Inacío, the name of his spiritual office, for the interview. A question was about the early sexual allegations and João was angry and running and streaming "I thought you were talking about me, not other people".
He didn’t have a clean criminal record, he had already been fined and jailed for working without a license.
Jean de Dieu, guérisseur spirituel, accusé d'abus sexuel
Connu sous le nom de « Jean de Dieu », João Teixeira de Faria, est accusé par une dizaine de femmes de les avoir agressées sexuellement dans sa clinique dans la ville d’Abadiana dans le centre du pays.
Certaines de ces femmes ont dit qu’il les avait violées tout en faisant croire que cela faisait partie des guérisons et qu’après, il cherchait un traitement contre la dépression.
Les allégations d’abus sexuels font rage depuis des années, mais jusqu’à présent n’ont guèredissuadé les milliers de visiteurs de se rendre à son cabinet.
Cela fait plus de 10 ans que les journalistes essayent de révéler la vérité.
En 2005, dans un article intitulé « Primtime Live » d’ABC News intitulé « Jean de Dieu est-il un guérisseur ou un charlatan ? » João a été interrogé sur les accusations selon lesquelles il auraitabusé d’une patiente. Il aurait répondu « il y a beaucoup de jalousie, les gens parlent».
En 2014, un journaliste du Sydney Morning Herald s’est rendu à la Casa de Dom Inacío, le nom de son cabinet spirituel, pour l’interview. Une question portait sur les allégations d’abus sexuels et Joãose serait énervé « je pensais que vous veniez parler de moi, pas d’autres personnes ».
Il n’avait pas un casier judiciaire vierge, il avait déjà été condamné à une amende et une peine de prison pour avoir travaillé sans permis.
Camille
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