Pro-gun policy introduced
Brazil has one of the highest murder rates in the world with 63,880 intentional violent deaths per year. However, President Jair Bolsonaro has signed a decree making it easier to keep a firearm at home "so that good citizens can at that time find peace in their homes," Bolsonaro said during a ceremony in Brasilia.
He also announced that other measures could follow. The movement has
been criticized by public security experts and praised by the president’s supporters.
Renato Lima, President of the Brazilian Forum on Public Security, a
non-governmental organization that co-produces the annual Atlas of Violence on
Murder Rates, said, "It's an open door to violence and a terrible news for
public security". While the businessman Luciano Hang, prominent supporter
of Bolsonaro, to his 166,000 faithful tweeted "Mission accomplished, it is
no longer just bandits who can have weapons in Brazil."
Bolsonaro partly based his campaign on the victory against crime and his supporters imitate his campaign gesture. Extending the possession of a firearm was therefore a key campaign promise. The government has found ways to deprive the population of the right to arm themselves, announced Jair Bolsonaro, mentioning former President Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010).
The new decree makes
it easier for Brazilians to keep their weapons at home by removing the
requirement to show a federal police officer the need for a firearm at home.
Bolsonaro has also increased
the validity of firearms licenses from five to ten years. The head of a
national association of non-commissioned police officers, said the decree would
increase the number of deaths in internal conflicts, burglaries and after bar brawls.
Yet, it
will take a few months or even years to be able to observe the consequences of
this decision.
Bolsonaro a la gachette facile
Le Brésil
est le pays qui a l’un des taux de
meurtres les plus élevés au monde avec 63.880 morts violentes intentionnelles
par an. Malgré ces chiffres, Jair Bolsonaro, président du Brésil, a signé un
décret rendant plus facile la détention d’une arme à feu chez soi. Le décret
avait été rédigé "de manière à ce que les bons citoyens puissent retrouver
la paix chez eux" a déclaré Bolsonaro, lors
d'une cérémonie à Brasilia. Il a également annoncé que d'autres mesures
pourraient suivre. La décision
a été critiquée par des experts en sécurité publique et loué par ses partisans.
Renato
Lima, président du Forum brésilien sur la sécurité publique, organisme non
gouvernemental qui coproduit l’atlas annuel de la violence sur les taux de
meurtres a déclaré « C’est une porte ouverte sur la violence et une nouvelle
terrible pour la sécurité publique. »
Tandis
que l’homme d’affaires Luciano Hang, éminent partisan de Bolsonaro, a tweeté à ses 166.000 abonnés « Mission accomplie,
ce ne sont plus seulement des bandits qui peuvent avoir des armes au Brésil. »
Bolsonaro
a fait de la lutte contre la
délinquance un des axes majeurs de sa campagne et ses partisans imitent en mimant un pistolet
son geste de campagne. Libéraliser
la possession d'une arme à feu était donc une promesse-clé de campagne. Le gouvernement a
trouvé des moyens de priver la population du droit de s'armer, a déclaré Jair
Bolsonaro, évoquant l'ex-président Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010).
Le nouveau
décret permet donc aux Brésiliens de posséder plus facilement leurs armes chez
eux, en supprimant l’obligation d’en démontrer à un agent de la police fédérale
la nécessité. Bolsonaro a étendu
également la durée de validité des licences d’armes à feu de cinq à dix ans.
Le
responsable d'une association nationale de policiers, a déclaré que le décret augmenterait le
nombre de morts au cours des cambriolages et suite aux différends dans les bars.
Il faudra
quelques mois, voire quelques années, pour pouvoir observer les conséquences de
cette décision.
Elisa
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