lundi 7 octobre 2019

President in trouble

                                    President in trouble

Yet another problem is embarrassing Brazilian president Bolsorano.
Brazilian opposition figures and human rights observers are bubbling after a
photo emerged of Jair Bolsonaro, the, smiling and giving the thumbs up with a
man arrested in relation with the murder of the Rio de Janeiro city councilor,
Marielle Franco.
It’s the second time where president has been seen near a suspect  in Brazil’s
most high-profile political murder in a decade.
In March, a picture of Bolsonaro with Élcio Vieira de Queiroz, a previous
policeman blamed of driving the car used in Franco’s murder, circulated on
social network.
Queiroz’s arrest appeared to support suspicion that Franco had been targeted by
the paramilitary gangs known as “militias” that control large swaths of Rio and
are usually made up of commanded by active or retired police officers.
Franco, a famous socialist councillor and rising star in Rio politics who fought
against police brutality in the city’s favelas, was killed last year with her driver
Anderson Gomes when a gunman exploded the car they were driving in.

                             Bolsonaro dans la tourmente


Le président brésilien doit faire face à de nouveaux problèmes. En effet, les
membres de l’opposition brésilienne ainsi que les défenseurs des droits de
l’homme étaient en ébullition car une photo de Jair Bolsonaro est apparue sur les
réseaux sociaux.
Cette photo montre le président brésilien le pouce levé souriant avec un homme
arrêté depuis pour le meurtre de Marielle Franco, une conseillère municipale de
Rio de Janeiro.
C’est la seconde fois que l’on voit Bolsonaro avec un suspect du meurtre de
Marielle Franco. Ce meurtre politique est l’un des plus médiatisé de la décennie
au Brésil.
Bolsonaro avait déjà été vu en mars dernier sur une photo avec Elcio Vieira de
Querioz, un ancien policer accusé d’avoir conduit le véhicule utilisé lors du
meurtre de Franco.

L’arrestation de Queiroz confirme le soupçon que le meurtre de Franco avait été
commandité par des gangs paramilitaires qui règnent sur de grandes zones de
Rio et sont dirigés par des policiers en service ou à la retraite.
Franco était une conseillère célèbre qui luttait contre les violences policières
dans les favelas. Elle a été tuée l’année dernière avec son chauffeur par un
homme qui a criblé sa voiture de balles.

Mounir

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