jeudi 12 novembre 2020

 

THE VACCINE’S ANTI-COVID TESTS HAVE BEEN REPEATED

The vaccine’s anti-covid tests have been repeated

Brazil’s health regulator has authorized the resumption of clinical trials of the Chinese COVID-19 vaccine Sinovac -if it works and is not dangerous, without side effects- , which had been arrested due to the death of a subject test patient registered in Sao Paulo as a suicide. President Bolsonaro opposes this vaccine which he does not find legitimate and calls the Brazilians " wimps" in the face of the coronavirus, and added "we will all die one day". This vaccine has also revived tensions between Bolsonaro and the Sao Paulo leader, Joao Doria.

Bolsonaro reiterated, however, on Wednesday evening that his government would purchase whatever vaccine is approved by Anvisa and the health ministry, which could ultimately include the Sinovac vaccine, if approved.                 


Les test pour le vaccin anti-covid ont repris

L’organisme de réglementation de la santé du Brésil a autorisé la reprise des essais cliniques du vaccin chinois contre la COVID-19 Sinovac -s’il fonctionne et s’il n’est pas dangereux, sans effets secondaires- qui avait été arrêté en raison du décès d’un patient soumis à un test inscrit à Sao Paulo en tant que suicide. Le président Bolsonaro s’oppose à ce vaccin qu’il ne trouve pas légitime et appelle les Brésiliens "poules mouillées" face au coronavirus, et ajoute "nous allons tous mourir un jour". Ce vaccin a également ravivé les tensions entre Bolsonaro et le leader de Sao Paulo, Joao Doria.

Bolsonaro a toutefois réitéré, mercredi soir, que son gouvernement achèterait tout vaccin approuvé par Anvisa et le ministère de la Santé, qui pourrait finalement inclure le vaccin Sinovac, si approuvé.

Juliette

mercredi 14 octobre 2020

Amazon rainforest suffers worst fires in a decade - La forêt amazonienne connaît ses pires incendies de la décennie

 

Amazon rainforest suffers worst fires in a decade

 

 

Fires in Brazil’s Amazon increased 13% in the first nine months of the year compared with a year ago, as the rainforest region experiences its worst rash of blazes in a decade. Since the start of 2020, more than 5,000 forest fires have been declared in brazil.

 

Data from space research agency Inpe, show that satellites in September recorded 32,017 hotspots in the world’s largest rainforest, a 61% rise from the same month in 2019.

Last year during August, the surging fires of Amazon captured the attention of a lot of people, including world leaders such as France’s Emmanuel Macron, saying Brazil was not doing enough to protect the rainforest.

 

On September 24, the US Democratic presidential candidate, Joe Biden, called for a world effort to offer $20bn to end Amazon deforestation and threatened Brazil with unspecified “economic consequences” if it did not “stop tearing down the forest”.

Brazil’s Jair Bolsonaro lambasted Biden’s comment as a “cowardly threat” to Brazil’s sovereignty and a “clear sign of contempt”.

 

“It’s already worse than last year, we are at the mercy of the rain” said Ane Alencar, science director for Brazil’s Amazon Environmental Research Institute (Ipam).

According to a fire monitoring tool funded in part by the US space agency, Nasa, the entire Amazon, which spans over nine countries, currently numbers 28,892 active fires.

 

The warming of the North Atlantic is also helping drive drought in the Brazilian Pantanal, the world’s largest wetland, which has suffered more fires this year than ever previously recorded, according to Inpe data.

A Federal University of Rio de Janeiro analysis found that 23% of the wetlands, has burned.

 

 

La forêt amazonienne connaît ses pires incendies de la décennie

 

Les feux ont augmenté de 13% au Brésil durant les premiers 9 mois de l’année par rapport à l’année dernière, et l’Amazonie subit ses pires incendies de toute la décennie. Depuis le début de 2020, plus de 5OOO feux qui ont étés répertoriés au Brésil.

 

Des informations venant de l’agence de recherche spatiale Inpe, montre que des satellites ont enregistré 32.017 foyers dans la grande forêt tropicale, une augmentation de 61% sur un an.

En août dernier, les incendies ont alerté l'opinion mondiale et des dirigeants internationnaux tels que Emmanuel Macron, ont reproché au Brézil de ne pas faire assez pour protéger la forêt tropicale.

 

Le 24 septembre, le candidat démocrate à la présidentielle américaine Joe Biden, a demandé un effort international pour collecter la somme de 20 milliards de dollars pour mettre fin à la déforestation de l’Amazonie. Il a menacé le Brésil de « conséquences économiques » non spécifiées, s'il n’arrêtait pas de « détruire la forêt ».

Le président du Brésil, Jair Bolsonaro a répondu violemment aux propos de Biden, en les qualifiants de « menace lâche » envers la souveraineté du Brésil et d'un « clair signe de mépris ».

 

« C’est déjà pire que que l’année dernière, nous sommes à la merci de la pluie » a dit Ane Alencar, directrice des sciences de L'institut brésilien de Recherche Environnementale de l’Amazonie.

Selon un outil de surveillance des incendies financé en partie par l'agence spatiale américaine, la Nasa, l’Amazonie, qui s’étend sur neuf pays, compterait actuellement 28.892 foyers actifs.

 

Le réchauffement de l’Atlantique nord contribue également à la sécheresse du Pantanal brésilien, la plus grande zone humide du monde, qui a connu davantage de feux cette année, selon les informations de l’Inpe. Une Analyse de l’Université Fédérale de Rio de Janeiro, a révélé que 23% des zones humides avaient brûlé.

 


Thomas B.

jeudi 8 octobre 2020

Abortion regulation will violate secrecy

 

Abortion regulation will violate secrecy

The Ministry of Health is about to enforce new regulation that restricts abortion even more. Indeed, now when a woman wishes to have an abortion, after a rape, the doctor must contact the police without the woman’s consent while medical secrecy isnt respected. The Ministry of Family, Women and Mens Rights has set up a telephone line for medical centres that suspect women of having had illegal abortions.

 Tamara Taraciuk Broner -acting deputy Americas director at Human Rights Watch- said “Brazilian authorities should urgently revoke these new regulations, which increase the risk that women and girls will resort to unsafe abortions that could endanger their lives and health. Because, indeed, women who have abortions dont do so out of will, they just dont have the choice, so they will surely resort to other dangerous solutions.

Les avortements désormais contrôlés par la police

Le Ministère de la Santé souhaite introduire de nouvelles dispositions qui restreindront davantage encore la possibilité d’avortement. Désormais, quand une femme voudra avorter après un viol, le médecin devra en informer la police sans le consentement de la victime, le secret médical ne sera plus respecté. Le Ministère de la Famille, des Droits des Femmes et des Hommes a mis en place une ligne téléphonique pour les centres médicaux qui soupçonnent les femmes d’avoir subi des avortements illégaux.

Tamara Taraciuk Broner, directrice adjointe par intérim de Human Rights Watch pour les Amériques, a déclaré : « Les autorités brésiliennes devraient d’urgence abroger ces nouvelles réglementations, qui augmentent le risque que les femmes et les filles recourent à des avortements dangereux qui pourraient mettre leur vie et leur santé en danger. » Parce que, en effet, les femmes qui ont des avortements ne le font pas délibérément, elles n’ont tout simplement pas le choix, donc elles auront sûrement recours à d’autres solutions dangereuses.

 

Juliette

 

Source : https://www.hrw.org/news/2020/09/21/brazil-revoke-regulation-curtailing-abortion-access

jeudi 28 mai 2020

Bolsonaro thinks football stronger than virus

Bolsonaro thinks football stronger than virus


President Jair Bolsonaro wants to restart football competitions soon while Brazil knows a high number of coronavirus cases. He says that players are less likely to die from Covid-19 because of their physical fitness. Bolsonaro qualifies the virus of “little flu”.
 
Brazilian championship was scheduled to begin in May, but that looks unlikely as the country has become a coronavirus hot spot with more than 5,900 deaths with the peak of the pandemic expected to hit in two weeks according to doctors.
“There are a lot of people in soccer that are favorable to a return because unemployment is knocking on clubs’ doors too,” Bolsonaro said in an interview with Radio Guaiba. “Footballers, if infected with the virus, have a small chance of dying. That’s because of their physical state, because they are athletes.”

Bolsonaro veut voir du football


Le président du Brésil, Jair Bolsonaro, veut redémarrer prochainement les compétitions de football alors que le Brésil a un nombre de cas de coronavirus élevé. Il estime que les joueurs sont moins susceptibles de mourir du Covid-19 en raison de leur forme physique. Bolsonaro qualifie le virus de « petite grippe ».

Le championnat brésilien devait commencer en mai, mais cela semble peu probable car le pays est devenu un épicentre de l’épidémie avec plus de 5900 décès. Le pic de la pandémie devrait être atteint dans deux semaines selon les médecins.

“Il y a beaucoup de personnes dans le football qui sont favorables à un retour parce que le chômage frappe aussi aux portes des clubs”, a déclaré Bolsonaro dans une interview à Radio Guaiba. “Si les footballeurs sont infectés par le virus, ils ont une faible chance de mourir. C'est à cause de leur état physique, parce qu'ils sont des athlètes”.

Timothé

mardi 31 mars 2020

A dangerous president

A dangerous president

Top Brazilian politicians have warned that Jair Bolsonaro is putting thousands of lives at risk with what they called his reckless, paranoid, anti-scientific and belligerent response to the coronavirus.

In a series of scathing interviews, conducted while 26 of 27 Brazilian governors convened an emergency meeting to discuss Bolsonaro's behavior, regional leaders told The Guardian they were concerned that the far-right leader might be sowing confusion about the need for quarantine measures and social distancing, and wasting precious time setting political bonfires to energize his radical base.

Bolsonaro sparked fury Tuesday with an extraordinary address to the nation in which he denounced the quarantine and travel restrictions implemented by many state governors and urged Brazilians to return to work and to schools, in contradiction with the advice of his own Ministry of Health.

The comments stunned state governors, many of which are now in open revolt against the president.


Un président contesté

D’importants dirigeants politiques ont lancé une mise en garde contre Jair Bolsonaro qui mettrait des milliers de vies en danger avec ce qu'ils appellent sa réaction irresponsable, paranoïaque, anti-scientifique et agressive au coronavirus.

Au cours d’une série d'interviews cinglantes, menées pendant une réunion d'urgence que 26 des 27 gouverneurs brésiliens avaient convoqué pour discuter du comportement de Bolsonaro, les dirigeants régionaux ont déclaré au Guardian qu'ils étaient préoccupés par le fait que le chef d'extrême droite sème la confusion quant à la nécessité de mesures de quarantaine et de distanciation sociale, et qu’il perdait un temps précieux à des opérations de communication destinées à satisfaire sa base radicale.

Bolsonaro avait suscité la colère mardi lors d’un discours extravagant à la nation dans lequel il a dénoncé les restrictions de quarantaine et de déplacement appliquées par de nombreux gouverneurs d'État et a exhorté les Brésiliens à retourner au travail et dans les écoles, en contradiction avec les conseils de son propre ministère de la Santé.

Ces propos ont stupéfait les gouverneurs des états, dont beaucoup sont maintenant en révolte ouverte contre le président.
Timothé