Recently, global
firms have been charged of amazon timber illegal imports. Greenpeace mentions
that twelve American and European firms have imported illegal wood of the
Amazonian forest. They imported timber from a Brazilian firm whose owner is
implicated in the murder of Brazilian farmers. The founder of the firm,
Valdelir João de Souza is accused to have of ordering the torture and murder of
nine people in Colniza, in the state of Mato Grosso, on 19 April. Since then,
he is on the run. The state’s lawyer accused Valdelir João de Souza of
organizing these murders to recover the forest lands where they lived.
Greenpeace
mentions that these woods shipments could be against the American law “Lacey
Act”. This law forbids the traffic of wood that transgresses any foreign law if
there is a risk that it has been illegally collected.
Even before these
murders, a report explains that businesses should have hesitated to trade with
the Valdelir João de Souza’s company, Madeireira Cedroarana, because this firm
accumulates penalty for fraud, stocking and trading illegal wood and for
laundering wood.
Des firmes
mondiales sont accusées d’avoir importé du bois illégalement
Dernièrement, Greenpeace a accusé douze
firmes mondiales d’avoir importé du bois de la forêt d’Amazonie illégalement.
Ces firmes américaines et européennes ont importé du bois d’une société
brésilienne dont le fondateur est impliqué dans le meurtre de fermiers
brésiliens. Le propriétaire de la firme, Valdelir João de Souza a été accusé
d’avoir ordonné les meurtres et la torture de neuf fermiers à Colniza, dans
l’état de Mato Grosso, dans le centre du Brésil, le 19 avril. Depuis cette
date, le suspect est toujours en fuite.
L’avocat de l’Etat poursuit Valdelir João
de Souza, pour avoir organisé les meurtres afin de récupérer la parcelle de
forêt où vivaient les fermiers.
Greenpeace indique que les importations de
bois sont contre la loi américaine « Lacey Act ». Cette loi condamne
le trafic de bois qui enfreint toute loi étrangère s'il y a un risque que le
bois a été illégalement collecté.
Même avant toute cette histoire de
meurtre, un rapport sous-entend que les sociétés auraient dû hésiter à faire
affaire avec la société de Valdelir João de Souza, qui a pour nom Madeireira
Cedroarana, car elle aurait accumulé des amendes pour avoir stocké et vendu du
bois illégal, pour blanchiment de bois et pour fraudes.
Victoria