mardi 23 janvier 2018

An epidemic of yellow fever in Brazil?


For some time, the Brazilian states of Sao Paulo, Minas Gerais and Belo Horizonte have been affected by cases of yellow fever. Many cases of yellow fever have been recorded and approximately 15 people have died since last December. 
Yellow fever is a deadly disease, it is transmitted to humans by mosquito bites. 
The World Health Organization requests travelers going in the 3 contaminated states to get vaccine against yellow fever. A mass vaccination program for the population has been set up in the state of Sao Paulo to protect a maximum of people. 

This increase of cases of yellow fever is not yet declared an epidemic. This wave of yellow fever will spread almost at the same time as carnival celebrations in February, when a lot of tourists are excepted. The Brazilian Health Minister said that most people attending carnival celebrations should be safe as they are hosted in large cities and not the rural and forested areas which have seen the biggest increase in yellow fever cases. The government has decided, lest there be not enough vaccines to vaccinate all those who are in risk areas, to divide the standard dose, which immunizes a person against the virus, in four or five doses, which protects against the virus for eight years. 




Le Brésil atteint par une épidémie de fièvre jaune ? 

Depuis quelques temps, les états de Sao Paulo, Belo Horizonte et de Minas Gerais au Brésil ont connu des cas de fièvres jaunes. De nombreux cas de fièvre jaune ont été signalés, cette maladie a fait au moins 15 morts depuis décembre dernier. 
La fièvre jaune est une maladie mortelle qui est transmise par les piqures de moustiques. 
L’Organisation Mondiale de la Santé a demandé aux voyageurs en partance pour les états contaminés de se faire vacciner contre la fièvre jaune avant de partir. Un programme de vaccination de masse a été mis en place dans l’état de Sao Paulo pour protéger un maximum de personne. 

Cette augmentation de cas de fièvre jaune n’a pas été encore déclarée comme épidémie. Cette contamination de la fièvre jaune a lieu en même temps que le début des célébrations du carnaval en février, où un afflux de touristes est attendu. 
Le ministre de la santé brésilien a déclaré que la plupart des personnes assistant aux célébrations du carnaval devraient être en sécurité dans les grandes villes car la maladie sévit plus dans les zones rurales et forestières, là où la fièvre jaune a le plus augmenté. 
Le gouvernement a décidé, de peur qu'il n'y ait pas assez de vaccins pour vacciner toutes les personnes habitant dans des zones à risque, de diviser la dose standard, qui immunise une personne contre le virus, en quatre ou cinq doses, qui protège contre le virus pendant huit ans. 

Victoria 



http://www.bbc.com/news/world-latin-america-42763471?intlink_from_url=http://www.bbc.co.uk/news/topics/cmj34zmw77wt/brazil&link_location=live-reporting-story

mardi 16 janvier 2018

Dozens of inmates escape after riot

The riot began in the afternoon of New Year's Day. According to the Brazilian police, in the state of Goias, in Brazil, during a riot, 106 inmates escaped from prison. Nineprisoners were shot dead and 14 were hurt. As of now, there are only 77 prisoners still at large. 

In overcrowded Brazilian prisons, riots are very frequent. The prison had been built for about 120 inmates, yet it was accommodating up to 420. Some relatives of the inmates worry about them although the police claimed that everything was under control.




Résultat de recherche d'images pour "goia prison"









Des dizaines de détenus en fuite 

Selon la police brésilienne, dans l’Etat de Goias au Brésil, lors d’une grande émeute, 106 détenus se sont échappés de prison lors du nouvel an. Neuf prisonniers ont été abattus et 14 blessés. Désormais, il ne reste plus que 77 prisonniers en fuite.

Les émeutes sont assez fréquentes dans les prisons brésiliennes qui sont souvent très surpeuplées. La prison avait été construite pour recevoir environ 120 détenus, cependant elle a été jusqu’à en accueillir 420. Certains proches des détenus s’inquiètent, la police leur a juste confirmé que « tout est sous contrôle »

Marion 

http://www.bbc.com/news/world-latin-america-42537347?intlink_from_url=http://www.bbc.com/news/topics/cmj34zmw77wt/brazil&link_location=live-reporting-story

mardi 9 janvier 2018

Major riot in Goiás Prison causes 9 deaths and 14 wounded


On January1, a major riot was provoked in the Goiás Prison by many groups of prisoners. This incident left 9 deaths and 14 wounded. Goiás is a state, situated in the center of Brazil, whose main city is Brasilia. 
The incident started when a gang invaded a wing of the prison where a rival gang were held. 
According to the Brazilian prison authorities, these confrontations caused a fire which was quickly mastered by the “Copro de Bombeiros”. 
Prison authorities reported that 106 detainees fled during the riot. The police confirmed that the situation is stabilized and researches continue for the remaining fugitives. 
Brazil is host to the world’s third biggest prison population with 726,712 prisoners (in June 2016), while the capacity of prisons is lower than 370,000. Prisons are overcrowded and it is a major issue for the country. 




Une émeute dans la prison de Goiás fait 9 morts et 14 blessés 


Ce 1er janvier, une émeute de grande ampleur dans la prison de Goiás a été provoquée par plusieurs groupes de prisonniers. Cet incident laisse 9 morts et 14 blessés. Goiás est un état, situé au centre du Brésil, avec pour ville principale Brasilia. 
L’incident a débuté lorsque qu’un gang a envahi une aile de la prison fief d’un gang rival. Selon l'administration pénitentiaire brésilienne, ces confrontations ont provoqué un incendie qui a rapidement été maitrisé par les “Copro de Bombeiros”. 
L’administration pénitentiaire a annoncé que 106 détenus s’étaient échappés pendant l'émeute. La police a confirmé que la situation était stabilisée et les recherches continuent pour les fugitifs restants. 
Le Brésil abrite la troisième plus importante population carcérale au monde avec 726.712 prisonniers (en juin 2016), alors que la capacité des prisons est inférieure à 370.000 places. Les prisons sont surchargées et c'est un réel problème pour le pays. 

Gabrielle 



http://www.bbc.com/news/world-latin-america-42537347?intlink_from_url=http://www.bbc.co.uk/news/topics/cmj34zmw77wt/brazil&link_location=live-reporting-story

http://riotimesonline.com/brazil-news/rio-politics/goias-prison-riot-leaves-9-dead-and-14-wounded-in-brazil/

mardi 19 décembre 2017

Global firms illegally import Amazon wood

Recently, global firms have been charged of amazon timber illegal imports. Greenpeace mentions that twelve American and European firms have imported illegal wood of the Amazonian forest. They imported timber from a Brazilian firm whose owner is implicated in the murder of Brazilian farmers. The founder of the firm, Valdelir João de Souza is accused to have of ordering the torture and murder of nine people in Colniza, in the state of Mato Grosso, on 19 April. Since then, he is on the run. The state’s lawyer accused Valdelir João de Souza of organizing these murders to recover the forest lands where they lived.
Greenpeace mentions that these woods shipments could be against the American law “Lacey Act”. This law forbids the traffic of wood that transgresses any foreign law if there is a risk that it has been illegally collected.
Even before these murders, a report explains that businesses should have hesitated to trade with the Valdelir João de Souza’s company, Madeireira Cedroarana, because this firm accumulates penalty for fraud, stocking and trading illegal wood and for laundering wood.

Des firmes mondiales sont accusées d’avoir importé du bois illégalement

Dernièrement, Greenpeace a accusé douze firmes mondiales d’avoir importé du bois de la forêt d’Amazonie illégalement. Ces firmes américaines et européennes ont importé du bois d’une société brésilienne dont le fondateur est impliqué dans le meurtre de fermiers brésiliens. Le propriétaire de la firme, Valdelir João de Souza a été accusé d’avoir ordonné les meurtres et la torture de neuf fermiers à Colniza, dans l’état de Mato Grosso, dans le centre du Brésil, le 19 avril. Depuis cette date, le suspect est toujours en fuite.
L’avocat de l’Etat poursuit Valdelir João de Souza, pour avoir organisé les meurtres afin de récupérer la parcelle de forêt où vivaient les fermiers.
Greenpeace indique que les importations de bois sont contre la loi américaine « Lacey Act ». Cette loi condamne le trafic de bois qui enfreint toute loi étrangère s'il y a un risque que le bois a été illégalement collecté.
Même avant toute cette histoire de meurtre, un rapport sous-entend que les sociétés auraient dû hésiter à faire affaire avec la société de Valdelir João de Souza, qui a pour nom Madeireira Cedroarana, car elle aurait accumulé des amendes pour avoir stocké et vendu du bois illégal, pour blanchiment de bois et pour fraudes.

Victoria


lundi 11 décembre 2017

Homeless workers occupy giant squat in São Paulo


Brazil has known poverty and housing problems for many years. Since September, a large grouping formed on the periphery of São Paulo which is the most populated city in Brazil, with 21,090,791 inhabitants.

But recently, its population has strongly increased. Today, more than 8000 families don’t have any habitations. The slum is situated next to a huge block of buildings. This gathering is a protest of the workers who try to make the government react to housing problems with a view to denouncing inequalities.

The movement has been gathering momentum for several years in many cities around the world. Lots of squats exist in Brazil on a smaller scale with workers building makeshift shelters for their family. Insecurity in these districts is very present. Shelters are precarious,run-down and dirty, the living conditions are difficult. Housing is organized so that each tries to live as well as possible.

Brazil is an emerging country, but the economic and social disparities have yet to find a solution.



Le grand squat des travailleurs sans abri de São Paulo

Le Brésil subit depuis des années la pauvreté et les problèmes de logement. Depuis septembre, un grand regroupement s’est formé dans la périphérie de São Paulo, la ville la plus peuplée du Brésil, avec 21.090.791 habitants. Mais ces derniers jours celui-ci a fortement augmenté. On compte désormais dans ce lieu plus de 8000 familles qui n’ont pas d’habitation. Ce squat se situe à la limite d’une grande barre d’immeubles.

Ce rassemblement s’est effectué en signe de protestation des travailleurs pour tenter de faire réagir le gouvernement aux problèmes de logement. Ce mouvement a pour but de dénoncer les inégalités. Ce phénomène se déroule depuis plusieurs années dans de nombreuses villes partout dans le monde. Beaucoup d’autres squats existent, au Brésil, à plus petite échelle.

Les travailleurs construisent des abris de fortune pour vivre avec leur famille mais l’insécurité dans ces quartiers est très présente. Les abris sont précaires, délabrés et sales, les conditions de vie y sont difficiles. Les logements sont organisés pour que chacun tente d’y vivre pour le mieux. Les communautés veulent que le gouvernement trouve des solutions. Le Brésil est un pays émergent mais les inégalités y sont très fortes.

gabrielle



http://www.latimes.com/world/mexico-americas/la-fg-brazil-occupation-20171204-story.html

https://www.theguardian.com/cities/2017/nov/27/resistance-sao-paulo-homeless-reclaim-city-occupations

mardi 28 novembre 2017

Drug kingpin arrested in Rio


On December 6, Brazilian police arrested drug king “Rogério da Silva” who controlled much of Rocinha, the largest favela of Rio, located to the northwest of the city.

Rogério da Silva is one of the most wanted men in Brazil. He is better known as “Rogério 157”, he is the most wanted dealer.

He is being prosecuted for drug trafficking, extortion and murder. He was also responsible for gang wars. $ 15,000 had been offered for his arrest but he was caught in a big police operation involving 3,000 officers. He was caught hiding under a duvet, at his home. He didn’t offer any resistance.

Some police took selfies or videos with him. Rio police also published a video of the arrest on Twitter. His arrest was widely publicized.


Arrestation d’un grand baron de la drogue à Rio

Le mercredi 6 décembre, la police brésilienne a arrêté un des plus grands barons de la drogue nommé « Rogério da Silva ». Il a été arrêté à Rocinha, la plus grosse favela de Rio, qui se situe au Nord-Ouest de la ville.

Rogério da Silva était l’un des hommes le plus recherchés du Brésil, 15.000 dollars avaient été offert pour son arrestation, c’était l’un des dealers les plus recherchés. Il contrôlait une grande partie de la favela de Rocinha et était plus connu sous le pseudo de « Rogério 157 ». Il est à l’origine de plusieurs guerres des gangs.

Il était principalement recherché pour trafic de drogue, meurtres et extorsion. Il a été arrêté lors d’une grande opération de police qui a mobilisé environ 3 000 policiers. Il a été retrouvé chez lui, caché sous sa couette et n’a offert aucune résistance.
Son arrestation a été très médiatisée, beaucoup de télés en ont parlé et certains policiers ont pris des photos ou des vidéos avec lui. La police de Rio a même publié une vidéo de son arrestation sur twitter.  

Victoria

mardi 21 novembre 2017

Gay Pride on Copacabana beach

On November 20, the 22nd edition of the gay pride was held in Rio. More than 800,000 people gathered for this event that took place on Copacabana beach. Unfortunately, many people get killed just because they are gay and Brazil has a high rate of homophobic violence.
Every year Brazil organizes a Gay Pride, to show that many people fight to defend this cause.
The mayor did not want to finance this event, so the organizers found another way to finance it.


La Gay Pride à Copacabana

Lundi dernier a eu lieu la 22ème édition de la Gay Pride à Rio. Plus de 800.000 personnes étaient présentes pour cet événement annuel qui a eu lieu sur la plage de Copacabana.
Malheureusement, au Brésil, les homophobes s’en prennent souvent aux homosexuels et peuvent même aller jusqu’à les tuer. Le Brésil, qui a le taux élevé de violences homophobes, organise tous les ans une Gay Pride, pour montrer qu’il y a quand même énormément de personnes qui luttent pour défendre cette cause.
Le maire n’a offert aucun financement afin d’aider pour l’organisation du défilé. Les organisateurs ont donc trouvé un autre moyen pour que l’événement ne soit pas annulé.


Marion


Sources : http://riotimesonline.com/brazil-news/rio-politics/thousands-gather-for-gay-pride-parade-in-rios-copacabana-beach/ http://abcnews.go.com/International/wireStory/thousands-celebrate-rios-gay-pride-parade-copacabana-51261735