Angry women
In Rio de Janeiro, a
victim of a rape can go to hospital for an
abortion.
But, before she has to prove that she
has been raped and answer many questions.
This is what is going to happen if a
bill introduced by the speaker of Brazil's lower
house Eduardo Cunha is
voted in Parliament. Many women voiced their discontent about
bill.
Prompted by social networks, thousands of women took to the streets in Rio de Janeiro, Sao Paulo and
Brasilia against Eduardo Cunha and his
bill.
In Brazil, abortion is banned except if women are victims of
rape, if the mother can die and
if the fetus suffers from
brain-damage.
Des femmes en colère
A Rio de Janeiro, une femme qui a été violée se rend
dans un hôpital pour avorter. Mais auparavant, elle doit prouver qu’elle s’est
bien fait violer et doit répondre à un
questionnaire.
C’est ce
qui risque de se produire si une proposition de loi présentée par le président
de la chambre basse Eduardo Cunha est votée.
De nombreuses
femmes ne sont pas d’accord.
Alertée
par les réseaux-sociaux, des milliers d’entre elles sont
descendues dans les rues de Rio
de Janeiro, Sao Paulo et Brasilia
pour montrer leur désaccord, exiger la démission d’Eduardo
Cunha et empêcher le vote de la
loi.
Au Brésil, l’avortement est interdit
sauf en cas de viol, si la mère risque de mourir, et si le fœtus est atteint
d’une lésion cérébrale.
Ambre
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